Contexte Avant de pouvoir rejoindre Gongju en Corée du Sud pour participer à la « Geumgang Nature Art Biennale » en août 2020, puis au « Global Nomadic Art Project » en septembre, nous avons dû rester en quarantaine, à côté de l’aéroport de Séoul, les deux premières semaines de notre séjour : une expérience particulière, mais enrichissante.
Intervention Être enfermés dans une chambre d’hôtel nous a fait réfléchir à ce que la nature signifie pour nous, et quel genre de relation nous avons avec elle chaque jour. Le manque d’air frais et la répétition stricte de la routine quotidienne nous ont déconnectés lentement d’une « réalité naturelle ». Les œuvres créées durant cette période dans de courts ateliers avec des matériaux environnants témoignent de notre sentiment de confinement. Seules les images de la vidéo ont été capturées lorsque nous étions de nouveau « libres ».
Context Before being able to go to Gongju in South Korea to take part in the « Geumgang Nature Art Biennale » in August 2020, and then in the « Global Nomadic Art Project » in September, we had to stay in quarantine in a hotel next to the Seoul airport, for the first two weeks of our stay: a particular but enriching experience.
Intervention Being locked up in a hotel room made us think about what nature means to us, and what kind of relationship we have with it in every days life. The lack of fresh air and the strict repetition of the daily routine slowly disconnected us from a « natural reality ».
The works created during this period [in short workshops] with surrounding materials testify to our sense of confinement. Only the images of the video were captured when we were « free » again.
Voir la vidéo « Quarantaine » :